Jeudi 15 décembre 4 15 /12 /Déc 14:11

Dualité

nom féminin

(bas latin dualitas, -atis, du latin classique dualis)

Caractère de ce qui est double en soi ou composé de deux éléments de nature différente : La dualité de l'être humain.
 Source  Larousse  

 

Voilà en j'en suis dans ma reflexion... Je suis dualité. Si je suis en apprentissage de soumission, c'est que je veux donner le meilleur de moi pour mon maître. Je veux pouvoir répondre à ses attentes, toutes ses attentes. 


Mais, ce que je veux faire pour cela, ne correspond pas forcément à ce que mon maître veut réellement obtenir de moi. Par exemple, il y a peu, Âdi me disait que lorsque nous nous verrons plus fréquement, il s'attend à ce que je me fasse belle pour lui : que je ne porte plus de sous-vêtement (et surtout pas de soutien-gorge), que je porte des décolletés très échancrés, que mon linge soit moulant. Âdi veut pouvoir avoir accès à mes nichons et à mes trous en tout temps sans être embêté par du linge absolument inutile. Âdi veut que l'on puisse voir sans trop d'effort mes mamelles. Il veut que mes tétons soit visibles. Il en est de même pour ma chatte. Il veut que l'on n'ait pas de doute de l'absence de culotte. Il veut que l'on puisse appercevoir ma toison sans difficulté.


Ne pas porter de culotte m'embête un peu selon les circonstances, mais cela n'est pas insurmontable. Par contre, ne pas porter de soutien-gorge c'est autre chose. Si à une époque cela ne me faisait ni chaud ni froid, aujourd'hui c'est différent. Ma poitrine a pris de l'expension avec les années. En effet, d'un 85 B je suis passée à un 100 D. Si ma poitrine est magnifique nue, habillée, c'est beaucoup plus joli à ma goût avec un minimum de maintient. Comment puis-je me sentir belle ? Comment puis-je dégager quelque chose de positif ? 


Et voilà, tout tient dans ce petit groupe de mots "plus joli à mon goût". Me voilà encore à vouloir contrôler. Je dois être en mesure d'accepter qu'après tout, mon goût on s'en fout. Mon image ne m'appartient pas. Elle appartient à mon maître. Quand j'ai dit à Âdi que j'aurais du mal à me sentir belle avec mes boules en liberté, il m'a retorqué que c'était mon problème. Il a raison. Non seulement c'est mon problème, mais en plus c'est un problème que je me crée. Je suis si complexée par mon corps et si obsèdée par le contrôle que j'en oublie le principal. Faire confiance à mon maître. Si mon maître exige cela de moi c'est qu'il a envie de profiter et de faire profiter de la vue, Âdi déteste la médiocrité. C'est à moi d'intégrer que dans ses yeux je serais forcément belle. Peut-être pas une beauté selon les standard habituels, mais je serais belle quand même. C'est à moi de travailler là-dessus et à prendre confiance en moi.


Et vous, qu'en pensez-vous ?

 

Par Eshita Damayanti - Publié dans : Apprentissage
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Vendredi 2 décembre 5 02 /12 /Déc 18:46

"Bonjour Salope"


C'est ainsi qu'Âdi m'a abordée hier soir. J'ai senti mes joues s'empourprer avec délectation. J'aime quand mon maître m'appelle ainsi. C'est comme si il me disait je t'aime. Malheureusement j'ai su par la suite que l'écriture de mon blog ne l'a point satisfait. Je n'ose pas. Ce blog est trop gentil. Je ne me lâche pas.


C'est vrai. 


Je sais qu'Âdi ne m'accable pas. Je suis un bloc d'argile qu'Âdi me fait l'honneur de bien vouloir modeler. Le but de mon maître et de me faire grandir, de me révéler, de me libérer des diktats judéochrétiens, de me dépasser et d'aller encore plus loin. Une homme peut être un Don Juan, un queutard et il a toute l'admiration de ses pairs. Si une femme se place dans cette position cela fait d'elle une salope. On se sert d'elle, et on l'oublie. Moi je veux être une salope, une salope qu'on n'oublie pas.


Eh bien voilà, salope je suis! Même si je suis absolument maladroite dans la séduction, j'aime les jeux qui tournent autour d'elle. J'ai adoré toutes les fois où cela a débouché sur un plan cul. Parfois le partenaire n'était pas dégourdi pour ne pas dire qu'il était complètement nul, mais ça tant qu'il n'y a pas de rapprochement on ne peut pas le savoir, mais ce n'était pas le plus important. Ma véritiable satisfaction était de revoir ces partenaires en situation sociale, de voir X, Y et Z au milieu des convives et de me rappeler leurs caresses, le goût de leur bite, ce qu'ils ont kiffé chez moi alors qu'ils sont en train de discuter ensemble et qu'il y a 5 minutes ils ne se connaissaient pas. Parfois plusieurs d'entre eux (mais séparément) ont profité d'un moment d'isolement pour me doigter ou me pelotter les seins discrètement et je ne manquais pas de récompenser leur courage en écartant largement les cuisses où en permettant un aller retour rapide de leur bite dans ma chatte. La seule raison qui déclenchait l'invitation c'est qu'ils m'ont baisée une fois ou deux. Un peu comme un dîner de con, mais version salope dont le con est secrètement convoité toute la soirée.


Salope je suis parce que j'ai toujours rêvé que mon Tendre Amour me prenne sauvagement, sans ménagement, qu'il laisse libre cours à ses envies et à son côté animal et depuis qu'il est devenu Âdi et qu'il me défonce la chatte avec 4 doigts putain, mais qu'est ce que j'aime ça!


Salope parce que j'ai toujours été fascinée par l'éjaculation féminine et envieuse des chanceuses qui ont pu expérimenter cela. C'est arrivé sous les doigts d'Âdi. Une seule fois, certes, mais je m'en souviendrai toute ma vie. J'étais absolument surprise, je pensais que jamais cela ne pourrait m'arriver. Mais quelle fierté de m'être répandue ainsi. 


Salope parce que si il y a un an jamais un sextoy n'était entré dans mon corps (je ne me sentais pas mal à l'aise de les manipuler, mais je ne me sentais pas attirer par ce genre de plaisir), j'ai maintenant des rosebuds de différente taille, des boules de geishas, une culotte en latex équipée de 2 godes par lesquels j'aime bien être remplie, un double dong articulé que j'adore faire aller et venir dans ma chatte et mon cul pendant que je prends mon bain. Ça c'est sans parler du cadeau que je me suis faite avec beaucoup de plaisir ... un jouet connecté avec lequel je prends un pied incroyable.


Salope parce que la culotte en latex c'est pour me préparer aux doubles pénétrations. J'ai envie d'avoir 2 mâles qui me remplissent la chatte et le cul en même temps. Mais j'adorerai aussi avoir 2 mâles qui viennent en même temps dans ma chatte. Savoir ces sexes si proches aller et venir en moi. Ça doit demander une belle complicité entre mâles. J'espère un jour pouvoir vire cela.


Salope parce que lorsque nous étions de tendres amoureux, je m'esquivais dès que mon amant voulait rentrer plus d'un doigt dans ma chatte (oui... je me suis "privée" de bien des plaisirs, mais je ne savais pas encore ce que je sais aujourd'hui), alors que maintenant je rêve qu'il me fiste. Oui, ce n'est pas un fantasme pour moi. C'est un but. Je veux offrir cela à mon maître car je sais qu'il a envie de me possèder ainsi. Mais j'ai tellement aussi envie de vivre cela d'Âdi. 


Salope parce que j'adore quand Âdi m'écartèle la chatte et le cul à m'en déchirer les chairs. J'adore quand il m'examine de la sorte comme si il cherchait une vérité dans l'élascticité de mon con et de mon cul. Dans ces moments j'aime l'entendre grogner et sentir son souffle sur/dans mes trous intimes. Et quand sa bouche me dévore waouw ! Dire que je refusais ces caresses! J'ai toujours du mal à m'en sentir digne mais cela dure de moins en moins longtemps.


Salope parce que j'adore placer un coussin sous son bassin pour pouvoir lui lécher le cul bien comme il faut. J'adore lui frencher le fion avec ma langue. Je pourrais passer un temps fou à le faire. J'aime son cul. J'aime son petit trou. J'aime le goût délicat de son cul.


Salope parce que j'ai vraiment hâte qu'il me traite comme une chienne. J'ai hâte qu'il m'offre, qu'il me partage même si les partenaires ne sont pas à mon goût. Moi la seule chose que je veux c'est les faire jouir et jouir sous les commentaire d'Âdi. 


Salope parce que j'aspire a être son vide-couille, à ce qu'il me traite en garage à bite, à ce qu'il m'impose des fouilles en public, à ce qu'il me fasse vraiment subir sa loi.


Salope parce que je rêve de son urine s'écoulant sur ma poitrine et sur mon ventre. Je sais que j'aurais beaucoup de mal à arriver à ce niveau mais j'aimerais tant pouvoir le faire.


Salope parce que j'ai envie qu'il m'exhibe, qu'il m'utilise, qu'il me partage, qu'il m'échange, qu'il me brime, qu'il me soumette, qu'il m'humilie.


Salope parce que j'ai la furieuse envie de brûler les étapes et de rentrer dans le vif du sujet, plus en profondeur.


Salope parce que je suis pressée qu'il fasse de moi la plus grosse salope de l'humanité.

 

Alors aujourd'hui je me dis "Bonjour Salope"

 

Par Eshita Damayanti - Publié dans : Apprentissage
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Jeudi 1 décembre 4 01 /12 /Déc 20:27

Lorsque mon maïtre m'a passé mon collier pour la première fois ce printemps, il m'a présenté son carnet rouge. J'étais nue, à genou les cuisses écartées à côté de la table basse, les mains dans le dos, tremblante.


Il m'a demandé d'y inscrire 20 fantasmes, souhaits, faits qui font de moi une salope. J'ai senti une vague d'anxiété m'envahir. J'aurais voulu me sauver. J'étais bouleversée. Ne rien écrire aurait été comme mentir à mon maître. À l'énoncé de l'exercice, je devais aller chercher en moi les choses les plus intimes et les plus inavouables auxquelles j'avais pu penser. 


Dire que pendant une éternité nous nous sommes aimés avec sagesse, pudeur, retenue, douceur. Jamais nous n'avions été vulgaire, nous étions même plutôt chastes. Oui, nous faisions l'amour chastement. Étrange paradoxe. Maintenant je me tenais là, exposant mon corps avec indécence et je devais dévoiler ma part d'ombre, ma part la plus vicieuse de manière la plus impudique et vuglaire qui soit, devant commencer chaque phrase par "je suis une grosse salope parce que...".


20 éléments, c'est beaucoup et cela ne laisse aucune chance de se cacher. C'est en même temps, je l'ai compris, le but de l'excercice.


À mesure que j'écrivais, je balançais entre la honte, la crainte d'être trop ou pas assez, la peur du jugement, la peur de me mettre trop à nue, l'excitation causée par ce que j'écrivais. Et puis autre chose beaucoup plus futile. J'ai une écriture absolument affreuse et plus souvent qu'autrement illisible. Écrire bien assise confortablement, toute habillée, devant quelqu'un ça m'a toujours complexée. Alors écrire avec une posture des plus instables, perturbée de corps et d'esprit, cela a eu un effet des plus violents sur moi et sur la qualité de ma calligraphie.


Une fois que tout était écrit, l'excercice n'en n'était pas terminé pour autant. Il a fallu que je lise à voix haute et intéligible ce que j'avais commis. Parfois mon maître me posait des questions car je n'avais pas assez développé à son goût.


Lorsque nous nous sommes revus il y a peu, mon maître m'a fait relire à voix haute le contenu du carnet rouge pour voir si j'étais toujours "d'accord" avec cela.


Cette fois-ci par contre je n'étais pas honteuse, je mouillais de ce que j'avais écris plusieurs mois avant. Je savais que la lecture n'était que le tout début de la séance, et je savais à quel point cela fait plaisir à mon maître de me sentir mouiller ainsi, peu importe la façon dont il se sert (ou pas) de mon corps par la suite.

Par Eshita Damayanti - Publié dans : Apprentissage
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Mercredi 30 novembre 3 30 /11 /Nov 19:51

Qu'il m'est difficile de plaquer mes mots sur ce blog. Non pas parce que je ne suis pas inspirée. Non! En fait je ne sais pas par quel bout commencer. 


Ce que j'ai écris jusqu'à présent est plutôt gentillet. Pourtant toute cette année il s'est passé tant de choses. Mon numéro d'esclave, le collier de chienne qu'Âdi m'a offert, les premières soumissions, le carnet rouge d'Âdi. Et puis surtout, surtout la signature du contrat.


Il y a peu, Âdi m'a fait parvenir un billet d'avion pour me faire venir auprès de lui, en métropole. Pendant tout le trajet, un mélange d'anxiété et d'excitation m'a parcourue. Âdi m'avait donné une mission, une seule mission à accomplir durant mon voyage. M'arranger pour prendre des photos de moi, dévêtue, mais pas nue. Des photos suggestives mais qui devaient être de bon goût. Difficile de se mettre en scène et de répondre aux attentes de son maître quand les toilettes d'un moyen de transport est le seul endroit où la chose peut se faire. Difficile de se sentir belle et de faire capter cela à l'objectif dans un endroit aussi sordide.


Et pius j'ai vu Âdi et toute la pesanteur de mon long voyage s'est envolée. Je me sentais grâcieuse, j'avais l'impression de voler, de voler vers lui, tellement légère dans mon corps et dans ma tête que j'en ai oublié mes bagages. Plus rien n'avait d'importance, juste Âdi et ce que je pouvais faire pour le satisfaire.


Je m'attendais à ce qu'Âdi me passe mon collier dès mon arrivée. Je pensais qu'Âdi allait me dresser pendant ces semaines passées auprès de lui. À vrai dire, je m'étais préparée mentalement à cela avec le même soin que j'avais préparé mon corps pour mon séjour auprès de mon maître. Âdi voulait que tous mes trous lui soit accessibles sans qu'il n'ait à s'inquiéter d'une quelconque préparation. Si je savais que ma chatte n'était pas un problème, ce n'était pas la même chose pour mon cul. J'ai donc porté mes plugs régulièrement et lorsque mon époux rentrait du travail il se faisait une joie de m'enculer. Oui, je suis mariée. Je suis polyamoureuse. Mon mari a toujours su pour Âdi, mais il ne sait pas la teneur de notre nouvelle relation.


C'est donc avec la chatte dégoulinante de mouille et le cul prêt à être fouillé qu'Âdi m'a accueillie chez lui.


Les choses ne se sont pas tout à fait passées comme je les avais pensées ou tout simplement fantasmée. Non Âdi a travaillé ma patience. Et plus je m'offrais à lui (j'ai poussé le vice à être la chatte à l'air les cuisses très écartées, complètement offerte sur son divan), et plus je manifestais mon envie d'être touchée, bousculée, baisée et plus Âdi m'ignorait. C'est seulement lorsque je ne l'espérais plus, lorsque j'avais fait taire mes désirs impudiques qu'Âdi débutait le rituel qui nous fait basculer dans l'autre monde : la toilette. 


C'est après ce rituel qu'Âdi me passait mon collier de chienne et commençait à explorer mes trous et à les fouiller d'une ferveur, d'une force et d'une férocité assez incroyable. Je sentais qu'en plus de me fouiller, il travaillait pour m'élargir, pour m'investir encore plus en largeur et en profondeur. Aussi je me sentais m'ouvrir de plus en plus sous ses assaults répétés. Il jouait de ma jouissance, tantôt s'arrêtant juste avant que je ne bascule, tantôt me provoquant des orgasmes répétés. Les larmes de plaisir roulaient sur mes joues et parfois je ne savais plus si c'était de la chatte ou du cul que je jouissais. Parfois il s'égarait sur mon clitoris et je devenais complètement folle. Je mouillais si fort que cela faisait un bruit absolument indécent. Et quand mon maître retirait sa main de ma chatte et qu'il me caressait les cuisses, je pouvais quantifier à quel point j'étais une chienne à la quantité de mouille produite. Oui, une chienne, le corps tendu de plaisir, suppliante de désir,ravie lorsque mon maître s'empresse de me pétrir, pincer, étirer mes seins et mes tétons. Une chienne qui exulte de joie lorsque son maître tient des propos salaces à son sujet.


Il est arrivé aussi que mon maître cesse toute caresse et me punisse d'une fessée car mes mains s'égaraient sur lui, et cela ne m'était pas permis. Mais il est bien trop dificile pour moi d'être a proximité de mon maître, nu, sans pouvoir le caresser. Et régulièrement je me faisais réprimander d'avoir branlé, effleuré ou cherché à sucer mon maître. 


Je sais que j'ai déçu mon maître parce que je n'ai pas vraiment mis d'application dans ce blog. Il s'attendait à y lire mes questionnements, mes réflexions, mes confessions aussi. Mais je n'ai rien fait de cela pendant plus de 35 jours. Pourtant avec la distance, si je ne veux pas que mon maître se détourne de moi, je dois déployer tout les efforts nécessaires pour qu'il sache où j'en suis dans mon parcours, si je progressse, même si je suis loin de lui. Et pourtant c'est si difficile pour moi de me mettre au clavier tout en n'ayant pas la certitude de livrer une écriture de qualité. Performer tout en restant dans le vrai. Ne pas perdre de vue l'essentiel. Mais ce qui m'est essentiel ne l'est pas forcément pour mon maître. Il va falloir que je lâche prise et que je me questionne sur ce qu'est l'essentiel pour mon maître.

 

Par Eshita Damayanti - Publié dans : Apprentissage
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Vendredi 14 octobre 5 14 /10 /Oct 20:34

J'ai toujours connu Âdi comme un amant doux et tendre. Jamais un mot déplacé. Nous faisions l'amour en silence, avec un incroyable sérieux. S'en était presque solennel. Je crois qu'il me voyait comme une créature fragile. Sauf à de rares exceptions, je ne lui avais jamais fait par clairement de mes envies sexuelles, mais il faut dire que je n'ai jamais été capable de demander certaines caresses ou pratiques car je ne m'en sens pas digne. Toutefois, après m'avoir fait voir la vidéo dont il m'avait envoyé le lien (voir Prélude), Âdi s'était enhardi. Il m'expliquait comme il avait envie de me prendre, de me possèder, de fouiller ma chatte sans vergogne, de s'occuper de moi si j'étais sa soumise. 

 

Âdi et moi avons entretenu une correspondance très soutenue par internet à défaut de pouvoir nous parler de vive voix. Il faut dire que j'avais quitté la métropole et mis des milliers de kilomètres entre nous, de nombreuses années auparavant. J'étais celle qui était partie. Et un puis un jour, mon bel amant m'a dit qu'il viendrait me voir le temps d'un week end prolongé. Quatre jours et trois nuits. Nous n'avions jamais pu passer autant de temps ensemble sans interruption. Âdi ne m'avait demandé qu'une seule chose : venir à l'aéroport sans culotte.

 

J'avais milles fois imaginé nos retrouvailles, et cette seule évocation me rendait moite. J'avais longtemps préparé mentalement mon bagage. Je voulais être sexy, coquine. Je me suis mise en quête de trouver une paire de porte-jaretelle, mais les dessous affriolants ne sont pas la spécialité de ma petite ville. Je me suis alors rabattue sur le seul et unique sexshop disponible à 40 kilomètres à la ronde, et je m'étais dotée d'un bodystocking laissant mon cul, mes cuisses et ma chatte complètement disponibles. J'ai passé par dessus une robe beaucoup plus courte que ce que je pensais. Je croyais que mon manteau recouvrirait le tout, mais en fait celui-ci s'arrêtait à mi-cuisse. En m'installant dans la voiture, je sentais le froid me mordre la chair et pourtant mon ventre bouillonnait de désir pour mon bel amant. À chaque changement de vitesse, je sentais les fibres de mon manteau me titiller le clitoris et je sentais ma cyprine couler entre mes lèvres. Le trajet était très troublant et j'ai eu beaucoup de mal à me concentrer sur la route, car la stimulation sensorielle combinée à l'idée de retrouvailles tant attendues et fantasmées faisaient que je me retrouvais régulièrement au bord de l'orgasme.

 

J'étais arrivée à l'aéroport alors que son avion se posait, mais comme il y avait beaucoup de monde j'ai patienté pendant très longtemps avec ma tenue qui dévoilait la peau de mes cuisses. Lorsque je marchais, les bas glissaient un peu ce qui faisait que tout le monde pouvait voir les jaretelles. Même si j'étais la seule à savoir que je ne portais pas de culotte, je me retrouvais à ressentir un suave mélange de honte et de profonde excitation. Je crois bien que je devais puer le sexe.

 

Lorsque j'ai vu Âdi franchir la porte d'arrivée, mon coeur a explosé dans ma poitrine, et plus une seule chose ne comptait : lui apporter tous les plaisirs et la jouissance que je pouvais lui fournir. J'avais ouvert mon manteau, et j'étais fière de marcher à côté de cet homme si bon et si beau, qui avait fait tant pour venir me voir. Une fois dans la voiture, j'avais soulevé le bas de ma robe pour découvrir mes reins et pour qu'Âdi constate que j'avais respecté sa demande. Âdi m'a dit "T'es courageuse, par ce froid, je ne l'aurais pas fait. Tant pis si tu as froid, si tu as le cul à l'air c'est ton choix !" J'ai su alors que j'étais sous sa coupe et quoi qu'il me demanderait, j'accepterais. J'aurais tant aimé qu'il me fouille le ventre dès que nous étions sur le parking. Je mouillais encore plus fort, mon clitoris et mes seins bandaient à me faire mal. La chaleur de ma chatte faisait contraste avec le froid du soir venu. Je le voulais en moi, dans ma bouche, dans mon ventre, dans mon cul. Je voulais qu'il m'étourdisse de ses baisers, qu'il me fouille, mais ce n'est pas ce qu'il s'est passé et la route pour nous rendre à l'hôtel pourtant très proche de l'aéroport m'a semblé durer une éternité. 

 

Sitôt la porte refermée sur nous, nous nous sommes embrassés fougueusement, une mains s'est emparée de mes seins tandis que l'autre pétrissait mes fesses glacées par le froid. Nous nous dévorions la bouche. Puis, je me suis retrouvée à califourchon sur lui, j'ai alors enlevé ma robe, dévoilant ainsi le bodystoking qui m'habillait. Mes tétons ressortaient des mailles et Âdi s'amusait à les faire rouler sous ses doigts puis s'est mis à les embrasser, les aspirer, les titiller de sa langue experte. De mon côté, je faisais onduler mon bassin sur le sien, frottant ainsi mon clitoris contre son jean au travers duquel je sentais son chybre devenu dur comme du bêton.

 

Puis je me suis laissée couler en bas du lit. Je me retrouvais ainsi la tête entre les cuisses de mon maître. J'avais entrepris de libèrer sa bite de tout vêtement et j'ai commencé à le sucer délicatement d'abord puis rapidement très goulument. Je sentais son liquide séminal monter et je me délectais de son goût si doux et si subtil. Alors que j'avais mon nez enfouis dans son buisson, Âdi croisait ses jambes pour que je le prenne et le maintienne encore plus profondément dans ma bouche. J'ai pu ainsi l'entendre grogner de satisfaction. Cependant, Âdi me fit cesser la pipe que j'étais entrain de lui faire. Il s'était saisi de nos écharpes pour m'aveugler et lier mes mains puis m'allongea sur le lit. 

 

Il y eu un très long silence et un long soupir. Soudainement, j'ai senti les mains de mon bel amant me déshabiller puis sculpter mon corps à coup de caresses et d'éffleurements, s'aventurant sur mon ventre et mes cuisses, mais évitant soigneusement ma chatte, même si il me forçait à maintenir mes cuisses ouvertes d'une façon absolument indécente. Parfois, je pouvais même sentir son souffle s'insinuer entre les lèvres de mon con qui ruisselait. L'intensité variable de ces attouchements me faisait frémir de désir au point de me trémousser comme une chienne en châleur. Je n'en pouvais plus. Mais sauf des gémissements de plaisir, je restais muette, dans un total abandon aux mains de mon maître.

 

Alors Âdi m'a mise à plat ventre, le cul légèrement surélevé, les cuisses toujours outrageusement écartées et a commencer à entreprendre ma chatte. Tantôt il écartait mes fesses et mes lèvres si largement pour tester l'élasticité de mes trous et les examiner, tantôt ils faisait des allers et retour vigoureux dans ma chatte. Il allait fort et vite, il me remplissait, j'avais l'impression que mon existence se résumait à mon con. Je mouillais tellement que cela s'entendait à chacun de ses mouvements. Je devenais folle de plaisir, je me sentais chienne. Je me sentais remplie. J'étais si heureuse du traitement que m'avait réservé mon maître. Âdi a alors enlevé d'une main l'écharpe qui m'aveuglait, tout en continuant à me besogner avec force et vigueur de l'autre. Mes yeux ont croisés les siens, c'est alors que mon maître me dit d'une voix blanche "Je t'aime". C'est alors que j'ai été secouée de l'orgasme le plus fort et le plus long de ma vie.

 

Une fois que j'avais repris mes esprits, Âdi m'a alors confié que c'était avec 4 doigts dans ma chatte qu'il me branlait, et que j'étais si détendue et remise à lui qu'il aurait pu me fister sans aucun problème.


À partir de ce moment-là, je me suis mise à rêver que mon maître me fistait. Et de l'avouer ainsi, cela me fait encore plus mouiller. 

     
Par eshita-damayanti - Publié dans : Vanille
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