Vendredi 14 octobre 5 14 /10 /Oct 20:34

J'ai toujours connu Âdi comme un amant doux et tendre. Jamais un mot déplacé. Nous faisions l'amour en silence, avec un incroyable sérieux. S'en était presque solennel. Je crois qu'il me voyait comme une créature fragile. Sauf à de rares exceptions, je ne lui avais jamais fait par clairement de mes envies sexuelles, mais il faut dire que je n'ai jamais été capable de demander certaines caresses ou pratiques car je ne m'en sens pas digne. Toutefois, après m'avoir fait voir la vidéo dont il m'avait envoyé le lien (voir Prélude), Âdi s'était enhardi. Il m'expliquait comme il avait envie de me prendre, de me possèder, de fouiller ma chatte sans vergogne, de s'occuper de moi si j'étais sa soumise. 

 

Âdi et moi avons entretenu une correspondance très soutenue par internet à défaut de pouvoir nous parler de vive voix. Il faut dire que j'avais quitté la métropole et mis des milliers de kilomètres entre nous, de nombreuses années auparavant. J'étais celle qui était partie. Et un puis un jour, mon bel amant m'a dit qu'il viendrait me voir le temps d'un week end prolongé. Quatre jours et trois nuits. Nous n'avions jamais pu passer autant de temps ensemble sans interruption. Âdi ne m'avait demandé qu'une seule chose : venir à l'aéroport sans culotte.

 

J'avais milles fois imaginé nos retrouvailles, et cette seule évocation me rendait moite. J'avais longtemps préparé mentalement mon bagage. Je voulais être sexy, coquine. Je me suis mise en quête de trouver une paire de porte-jaretelle, mais les dessous affriolants ne sont pas la spécialité de ma petite ville. Je me suis alors rabattue sur le seul et unique sexshop disponible à 40 kilomètres à la ronde, et je m'étais dotée d'un bodystocking laissant mon cul, mes cuisses et ma chatte complètement disponibles. J'ai passé par dessus une robe beaucoup plus courte que ce que je pensais. Je croyais que mon manteau recouvrirait le tout, mais en fait celui-ci s'arrêtait à mi-cuisse. En m'installant dans la voiture, je sentais le froid me mordre la chair et pourtant mon ventre bouillonnait de désir pour mon bel amant. À chaque changement de vitesse, je sentais les fibres de mon manteau me titiller le clitoris et je sentais ma cyprine couler entre mes lèvres. Le trajet était très troublant et j'ai eu beaucoup de mal à me concentrer sur la route, car la stimulation sensorielle combinée à l'idée de retrouvailles tant attendues et fantasmées faisaient que je me retrouvais régulièrement au bord de l'orgasme.

 

J'étais arrivée à l'aéroport alors que son avion se posait, mais comme il y avait beaucoup de monde j'ai patienté pendant très longtemps avec ma tenue qui dévoilait la peau de mes cuisses. Lorsque je marchais, les bas glissaient un peu ce qui faisait que tout le monde pouvait voir les jaretelles. Même si j'étais la seule à savoir que je ne portais pas de culotte, je me retrouvais à ressentir un suave mélange de honte et de profonde excitation. Je crois bien que je devais puer le sexe.

 

Lorsque j'ai vu Âdi franchir la porte d'arrivée, mon coeur a explosé dans ma poitrine, et plus une seule chose ne comptait : lui apporter tous les plaisirs et la jouissance que je pouvais lui fournir. J'avais ouvert mon manteau, et j'étais fière de marcher à côté de cet homme si bon et si beau, qui avait fait tant pour venir me voir. Une fois dans la voiture, j'avais soulevé le bas de ma robe pour découvrir mes reins et pour qu'Âdi constate que j'avais respecté sa demande. Âdi m'a dit "T'es courageuse, par ce froid, je ne l'aurais pas fait. Tant pis si tu as froid, si tu as le cul à l'air c'est ton choix !" J'ai su alors que j'étais sous sa coupe et quoi qu'il me demanderait, j'accepterais. J'aurais tant aimé qu'il me fouille le ventre dès que nous étions sur le parking. Je mouillais encore plus fort, mon clitoris et mes seins bandaient à me faire mal. La chaleur de ma chatte faisait contraste avec le froid du soir venu. Je le voulais en moi, dans ma bouche, dans mon ventre, dans mon cul. Je voulais qu'il m'étourdisse de ses baisers, qu'il me fouille, mais ce n'est pas ce qu'il s'est passé et la route pour nous rendre à l'hôtel pourtant très proche de l'aéroport m'a semblé durer une éternité. 

 

Sitôt la porte refermée sur nous, nous nous sommes embrassés fougueusement, une mains s'est emparée de mes seins tandis que l'autre pétrissait mes fesses glacées par le froid. Nous nous dévorions la bouche. Puis, je me suis retrouvée à califourchon sur lui, j'ai alors enlevé ma robe, dévoilant ainsi le bodystoking qui m'habillait. Mes tétons ressortaient des mailles et Âdi s'amusait à les faire rouler sous ses doigts puis s'est mis à les embrasser, les aspirer, les titiller de sa langue experte. De mon côté, je faisais onduler mon bassin sur le sien, frottant ainsi mon clitoris contre son jean au travers duquel je sentais son chybre devenu dur comme du bêton.

 

Puis je me suis laissée couler en bas du lit. Je me retrouvais ainsi la tête entre les cuisses de mon maître. J'avais entrepris de libèrer sa bite de tout vêtement et j'ai commencé à le sucer délicatement d'abord puis rapidement très goulument. Je sentais son liquide séminal monter et je me délectais de son goût si doux et si subtil. Alors que j'avais mon nez enfouis dans son buisson, Âdi croisait ses jambes pour que je le prenne et le maintienne encore plus profondément dans ma bouche. J'ai pu ainsi l'entendre grogner de satisfaction. Cependant, Âdi me fit cesser la pipe que j'étais entrain de lui faire. Il s'était saisi de nos écharpes pour m'aveugler et lier mes mains puis m'allongea sur le lit. 

 

Il y eu un très long silence et un long soupir. Soudainement, j'ai senti les mains de mon bel amant me déshabiller puis sculpter mon corps à coup de caresses et d'éffleurements, s'aventurant sur mon ventre et mes cuisses, mais évitant soigneusement ma chatte, même si il me forçait à maintenir mes cuisses ouvertes d'une façon absolument indécente. Parfois, je pouvais même sentir son souffle s'insinuer entre les lèvres de mon con qui ruisselait. L'intensité variable de ces attouchements me faisait frémir de désir au point de me trémousser comme une chienne en châleur. Je n'en pouvais plus. Mais sauf des gémissements de plaisir, je restais muette, dans un total abandon aux mains de mon maître.

 

Alors Âdi m'a mise à plat ventre, le cul légèrement surélevé, les cuisses toujours outrageusement écartées et a commencer à entreprendre ma chatte. Tantôt il écartait mes fesses et mes lèvres si largement pour tester l'élasticité de mes trous et les examiner, tantôt ils faisait des allers et retour vigoureux dans ma chatte. Il allait fort et vite, il me remplissait, j'avais l'impression que mon existence se résumait à mon con. Je mouillais tellement que cela s'entendait à chacun de ses mouvements. Je devenais folle de plaisir, je me sentais chienne. Je me sentais remplie. J'étais si heureuse du traitement que m'avait réservé mon maître. Âdi a alors enlevé d'une main l'écharpe qui m'aveuglait, tout en continuant à me besogner avec force et vigueur de l'autre. Mes yeux ont croisés les siens, c'est alors que mon maître me dit d'une voix blanche "Je t'aime". C'est alors que j'ai été secouée de l'orgasme le plus fort et le plus long de ma vie.

 

Une fois que j'avais repris mes esprits, Âdi m'a alors confié que c'était avec 4 doigts dans ma chatte qu'il me branlait, et que j'étais si détendue et remise à lui qu'il aurait pu me fister sans aucun problème.


À partir de ce moment-là, je me suis mise à rêver que mon maître me fistait. Et de l'avouer ainsi, cela me fait encore plus mouiller. 

     
Par eshita-damayanti - Publié dans : Vanille
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